Cancer, solution naturelle

Le cancer est une pathologie complexe dont la fréquence augmente. Le terme « cancer » fait référence à un ensemble de maladies distinctes affectant différentes parties du corps humain : tissus, organes ou cellules associées à ces tissus. Cependant, toutes ces formes de cancer sont caractérisées par une prolifération illimitée de cellules capables d’échapper à la mort cellulaire programmée, appelée apoptose. Cela entraîne la formation d’une population de cellules anormales pouvant se disperser dans l’ensemble de l’organisme. Ce processus résulte d’un nombre relativement faible de mutations génétiques héritées ou induites par l’environnement. Les altérations génétiques responsables du développement d’un cancer affectent principalement les gènes impliqués dans la progression du cycle cellulaire, l’adhérence cellulaire, ainsi que dans les processus de réparation des lésions de l’ADN. Pour qu’une cellule devienne cancéreuse, elle doit acquérir certaines propriétés qui lui confèrent sa malignité. Ces cellules prolifèrent d’abord localement, puis dans le tissu avoisinant, et enfin à distance, où elles forment des métastases.

D’après les données les plus récentes de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le cancer est l’une des principales causes de mortalité et constitue un obstacle important à l’augmentation de l’espérance de vie avant l’âge de 70 ans dans 112 des 183 pays répertoriés en 2020. En effet, on estime qu’il y a eu environ 19,3 millions de nouveaux cas de cancer et environ 10 millions de décès liés au cancer dans le monde en 2020. Les prévisions de l’OMS pour l’avenir sont également alarmantes : on estime qu’il y aura environ 26 millions de nouveaux cas de cancer et 17 millions de décès liés au cancer par an d’ici 2030. Le cancer demeure un véritable problème de santé publique, tant dans les pays industrialisés que dans les pays en développement.

Ces chiffres soulignent l’importance de la prévention, du dépistage précoce et d’un traitement efficace pour améliorer la santé et l’espérance de vie dans le monde, étant donné qu’environ 1 homme sur 8 et 1 femme sur 11 décède de cette maladie, tandis qu’environ 1 homme sur 5 et 1 femme sur 6 développera un cancer au cours de sa vie. Malheureusement, l’incidence et la mortalité des cancers augmentent, principalement en raison du vieillissement et de la croissance de la population, ainsi que des comportements à risque tels que l’exposition excessive aux rayons UV, une mauvaise alimentation, le tabac, et l’alcool, entre autres. Beaucoup de ces facteurs de risque sont associés au développement socio-économique.

Traitements

Aujourd’hui, grâce aux avancées de la recherche et de la médecine, de nombreuses formes de cancer peuvent être guéries avec une forte probabilité (OMS, 2022). Cependant, il est essentiel d’obtenir un diagnostic précoce et précis pour pouvoir administrer un traitement adapté et efficace, car chaque type de cancer nécessite une approche thérapeutique spécifique.

Les options de traitement actuelles pour le cancer comprennent des méthodes telles que l’immunothérapie, l’hormonothérapie, la greffe de cellules souches, les tests de biomarqueurs, la radiothérapie, la chimiothérapie, et la chirurgie. L’objectif de ces traitements peut être de supprimer complètement le cancer du corps (traitement primaire), de réduire le risque de rechute en éliminant les cellules cancéreuses résiduelles (traitement adjuvant), ou de soulager les effets secondaires du traitement (traitement palliatif). Néanmoins, malgré les progrès réalisés dans le développement de nouvelles thérapies plus sélectives et moins toxiques, certaines méthodes de traitement classiques comme la chirurgie et la radiothérapie posent encore des problèmes. La radiothérapie peut endommager les tissus sains environnants en raison de la toxicité des rayonnements, tandis que l’élimination complète des cellules cancéreuses et la prévention de leur dissémination peuvent être difficiles lors d’une intervention chirurgicale. De plus, ces traitements présentent un risque de rechute, notamment en cas de récidive ou de métastases.

Dans ces situations, la chimiothérapie reste généralement le traitement de choix. Cette dernière correspond à l’utilisation de composés naturels ou de synthèse bloquant la prolifération cellulaire (traitements cytostatiques) ou tuant les cellules (traitements cytotoxiques). L’arsenal thérapeutique comprend divers produits regroupés en plusieurs familles, dont les plus utilisées sont : les agents alkylants de l’ADN, les agonistes/antagonistes hormonaux, les antimétabolites, les inhibiteurs de topoisomérases, et les « poisons » du fuseau. Tous présentent une sélectivité insuffisante et, par conséquent, un ciblage non spécifique des cellules et tissus sains, entraînant de nombreux effets délétères.

En tant qu’agents chimiques conçus pour combattre les cellules à division rapide du cancer, ces traitements peuvent induire des effets secondaires toxiques sur les cellules saines. Ils peuvent ainsi détruire des cellules saines, en particulier celles à fort taux de renouvellement comme les cellules sanguines. Il est donc très fréquent d’observer des effets secondaires tels que la myélosuppression et la thrombocytopénie (perte globale des cellules sanguines, perte de fer, ou perte des plaquettes sanguines), la mucite (inflammation du tube digestif), et l’alopécie (perte de cheveux). Ces effets sont liés au ciblage non sélectif des cellules de la moelle osseuse, du tractus gastro-intestinal, et des follicules pileux. De plus, le développement de cancers secondaires peut également être un risque. Dans le cadre du mécanisme de résistance des cellules cancéreuses, une fois qu’un grand nombre de ces composés chimiques traverse la membrane cellulaire et pénètre dans le cytosol, ces composés sont transportés vers l’extérieur de la cellule. Outre l’augmentation des transporteurs de médicaments qui acheminent l’agent anticancéreux hors de la cellule, d’autres mécanismes de résistance multiple aux médicaments (MDR) peuvent être décrits. Ceux-ci incluent la capacité des cellules à réparer les dommages subis par l’ADN, l’expression anormale des enzymes détoxifiantes, et la tolérance aux conditions de stress.

À une époque où le nombre de personnes souffrant d’une maladie liée au cancer augmente chaque jour et où les thérapies conventionnelles montrent un nombre inquiétant de déficits et d’inconvénients, de nouvelles options de traitement sont au centre des recherches des industries pharmaceutiques et de la recherche publique.

Les composés naturels jouent un rôle important dans la chimiothérapie en tant qu’agents cytostatiques (qui bloquent la prolifération cellulaire) ou cytotoxiques (qui tuent les cellules). Voici quelques exemples de ces composés utilisés en chimiothérapie :

Ces composés naturels sont utilisés en chimiothérapie pour leur capacité à cibler les cellules cancéreuses. Cependant, ils peuvent aussi affecter les cellules saines, ce qui explique les nombreux effets secondaires associés à ces traitements.

Les solutions naturelles des Laboratoires TBC.

Les produits des laboratoires TBC sont utilisés en complément thérapeutique. Ils ont deux mécanismes d’action principaux : soit ils bloquent la synthèse des protéines au niveau des ribosomes, soit ils inhibent la formation des microtubules, bloquant ainsi la division cellulaire, ou encore, ils agissent selon ces deux mécanismes.

Philorubiscine 6

Préparations de plantes : Annona muricata L. (Fruit / Extrait sec aqueux) : 130 mg, Artemisia vulgaris L. (Feuille / Extrait sec aqueux) : 14 mg, Carica papaya L. (Feuille / Extrait sec aqueux) : 292 mg, Curcuma longa L. (Rhizome / Extrait sec aqueux) : 146 mg, Desmodium adscendens (Sw.) DC. (Feuille / Extrait sec aqueux) : 203 mg, Piper longum L. (Fruit / Extrait sec aqueux) : 65 mg, Punica granatum L. (Péricarpe / Extrait sec aqueux) : 29 mg, Thymus vulgaris L. (Parties aériennes fleurie / Extrait sec aqueux) : 463 mg, Trigonella foenum-graecum L. (Graine / Extrait sec aqueux) : 17 mg. Nutriments : vitamine C. Cette combinaison inhibe la formation des microtubules, ce qui bloque la division cellulaire.

Philorubiscine 2

Préparations de plantes : Carica papaya L. (Feuille / Extrait sec aqueux) : 1000 mg, Mangifera indica L. (Feuille / Extrait sec aqueux) : 1000 mg. Inhibe la formation des microtubules, ce qui bloque la division cellulaire.

Néoplasine

Préparations de plantes : Extrait aqueux sec de Galéga officinalis, Ageratum conyzoides, Carica papaya, Ipomoea sp, Combretum micranthum, Artemisia vulgaris, Trigonella foenum-graecum L . Inhibe la synthèse des protéines au niveau des ribosomes.

EL42-Inhibitor

Préparations de plantes : Extrait aqueux sec de Galéga officinalis, Ageratum conyzoides, Carica papaya, Ipomoea sp. Inhibe la synthèse des protéines au niveau des ribosomes.

Ribosome 415

Préparations de plantes : Extrait aqueux sec d’Artemisia vulgaris, Carica papaya, Combretum micranthum, Ipomoea sp, Trigonella foenum-graecum. Inhibe la synthèse des protéines au niveau des ribosomes.

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